Le quoi?
Le cortex pré-frontal, cette partie du cerveau qui nous permet progressivement de contrôler nos pulsions.
Et malheureusement pour nous, au fur et à mesure qu’en grandissant nous prenons conscience du regard des autres, le cortex pré-frontal censure aussi des idées que les âmes créatives aimeraient bien garder!
Alors découvrez comment fonctionne votre cerveau + et une solution simplissime pour couper le siffler à votre censeur de cortex pré-frontal!
Pourquoi les enfants ont l’air plus créatifs que les adultes
- La Stimulation Magnétique Transcranienne du neuro-scientifique Allan Snyder (université de Sydney) fonctionne avec des électrodes. Elle permet de réduire temporairement au silence un certain circuit cérébral.
- Et vous savez ce qui se passe? Elle « éteint » la censure des talents latents : 40% des personnes branchées à la machine voient alors les dessins qu’ils gribouillent se transformer en œuvres d’art! Ils n’en reviennent pas, d’ailleurs, de ce qu’ils ont été capables de dessiner lorsqu’ils étaient « branchés »!
- Cela explique pourquoi les enfants ont l’air si créatifs : leur « censeur » cérébral ne fonctionne pas encore. En grandissant, le cerveau mûrit et nous apprenons à contrôler nos pulsions, mais avec elles notre capacité d’improvisation.
- Et voilà! Quand on grandit, on a peur de dire ce qu’il ne faut pas, d’être jugé, de faire une fausse note, de tomber de la poutre…et on auto-censure son imagination.
Pourquoi certains malades deviennent des artistes
- La démence fronto-temporelle est une maladie terrible, qui détériore le cerveau.
- Le point commun entre les patients dont le cortex pré-frontal est touché, est qu’ils commencent par devenir des artistes. Jonah Lehrer raconte l’histoire de ces hommes et de ces femmes devenus peintres ou sculpteurs professionnels passée la cinquantaine.
- Des personnes qui n’ont jamais touché un pinceau sont brusquement submergées par un besoin de créer. Au bout de quelques années, ce sont des artistes reconnus. Au bout de 15 ans en moyenne, ils perdent toutes leurs facultés sauf artistiques, avant de s’éteindre, le cerveau détruit par la maladie.
- L’explication à ce phénomène étrange ? Le cortex préfontal, qui retient nos pulsions et notre imagination. Cette maladie le détruit à une vitesse foudroyante, et les patients ne sont plus capables de réprimer leurs perceptions et leur créativité.
Comment vous pouvez couper le sifflet à votre cortex pré-frontal!
- Savez-vous ce qui se passe pendant le sommeil? Le cortex préfontal, ce censeur, est éteint! Yuhu!
- D’ailleurs les études ont montré que les rêves augmentent notre créativité ((Wagner et Born en 2004) : nous avons 40% de plus de chances de trouver la solution à un problème quand on s’autorise une sieste (pas du repos, un vrai sommeil avec rêves) pendant le processus de recherche (chiffres récemment confirmés par les études de Sara Mednick).
- Et oui, on se creuse les méninges pour trouver une solution, une nouvelle idée…mais la crainte de l’avis des autres, le doute et la peur de l’échec incitent notre cortex pré-frontal à censurer les nouveautés qui nous passent par la tête! D’autant qu’avec la fatigue, et le stress, nous ne voyons pas les meilleures opportunités juste sous notre nez.
Moralité : pour être plus créatifs, avoir de meilleurs idées pour votre business…
…accordez-vous des siestes! Une plage de sommeil avec rêves booste de 40% les idées issues de votre processus créatif! Bien sûr, n’oubliez pas le duo carnet/crayon sur la table de chevet!
Et vous? Vous aviez déjà remarqué ça? La super idée qui arrive au moment de tomber dans le sommeil ou juste au réveil?
Je vous offre le contenu de ce blog gratuitement, car je veux vous aider à avancer. Ça ne vous coûte rien, alors si vous vous sentez aidée ici, je vous demande une chose : faites suivre à 3 personnes autour de vous, merci !
Je m’appelle Selma Païva. Je suis l’auteure du livre “Internet est une table pour deux, le marketing autrement”. Je forme + conseille + accompagne les entrepreneurs au niveau de leur marketing de contenu sur selmapaiva.com
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Commence par mes 10 micro-leçons d’email-marketing ici. Elles sont gratuites. Et spécialement conçues pour une relation durable et riche avec tes abonnés :-)
Encore un article très intéressant !
Par contre je trouve que ça marche mieux pour l’écriture: j’ai souvent des idées pour débloquer ou faciliter certaines situations de mon roman au moment de m’enformir. Pour la création de bijoux, j’ai besoin de toucher, assembler, voir mes perles, faire des essais, etc. pour mieux visualiser et créer.
Merci de ce nouvel article !
Je confirme j’ai le cerveau en ebullition surtous le matin au reveil, si je ne note pas de suite mes idées sur un papier, çà passe a la trappe.Dans la journée çà a le don de m’agacer,quand je tente de rechercher cette idée, si je ne retrouve pas c’est pour moi une journée gacher d’ou l’utilité carnet crayon a coter du lit. Je comprend mieux a présent, mon manque de créativité en se moment, je ne dort pas assez. ;)
Avec plaisir :-)
Même pour la création manuelle, car en ayant dormi avant, le “relâchement” de la censure du cortex (quelle phrase!) permet à des idées d’aboutir, mais c’est vrai que c’est surtout flagrant pour l’écriture, puisque c’est dans la tête que tout se passe, on s’en rend compte encore d’avantage!
C’est tout à fait vrai ! Cette sensation de trouver des solutions alors même qu’on plonge dans un somme réparateur… Quand aux artistes porteurs de handicap mental, je vous invite à visionner une émission en streaming sur Arte (http://videos.arte.tv/fr/videos/quand-la-folie-devient-art–7337280.html) … Passionnant !
Merci pour vos articles dans lesquels on se reconnaît
Merci + merci pour le lien!
Très intéressant… en effet au moment de m’endormir des idées jolies arrivent et me donnent envie de me relever pour les réaliser ! Le duo carnet / stylo est indispensable !!!
Oui! Et on est des fois étonnée de retrouver de supers idées dont on ne se souvenait même plus!
youhou…ça me donnera une excuse, lol!!!
Non sérieusement, oui, toujours en début de nuit…il m’arrive de rallumer la lumière et de griffonner vite fait bien fait sur le calepin…
Mais je dirais, le deuxième effet Kiss cool, c’est que parfois, ça ne s’arrête pas, d’idées en idées, et bah…je ne dors PAS!!!!
Merci encore Selma!!!
A ha ha! Je ne rallume pas la lumière, mais des fois je n’arrive pas à me relire! Arg!
ah bah vive la sieste alors!!! nous voila deculpabiliser de s’en accorder une de temps en temps!!!!!youpi!!
euh déculpabilisés et non déculpabiliser…
Encore un article intéressant :) Merci Selma. (Je fais suivre…)
J’aimerai avoir la possibilité d’une sieste, mais cela devient quasi impossible. En journée salariée c’est impossible et à la maison, comme les enfants n’en font plus, je ne peux plus vraiment.
Venant d’un milieu assez strict où les professions artistiques ne sont pas considérées comme sérieuses (qui font vivre) il n’était pas possible pour moi de faire autre chose que des études “sérieuses” qui furent scientifiques. Alors que je rêvais de faire une école d’art. Mais l’âge aidant, la recherche du moi avec, je me suis peu à peu dégagée de cela et je me suis donnée le droit de FAIRE. Les idées sont là, quand je fais tout va bien, mais dès que je m’arrête le jugement du regard des autres qui est en moi s’exprime et me freine. La petite voix qui regarde ce que j’ai fait et minimise mes “bricoles”… Quand ce n’est pas la voix de ma maman tout court ! :) qui s’inquiète que je fasse une folie (lâcher mon job salarié pour l’inconnu d’une activité insécure, incertaine et dangereuse) quelque chose qui n’est qu’un passe-temps. Forcément ça ne peut-être qu’un hobby. Quand elle a su que je développais mon activité, boutique statut etc etc j’ai du être ferme pour me faire entendre dans ma volonté. Et faire entendre qu’il ne s’agissait pas que de la nouvelle lubie de l’année.
Il est aussi parfois difficile de se défaire de choses en nous, qui nous ont été déposées comme des chapes nous empêchant de faire ce que l’on aimerait faire. Sous couvert de “bonnes” raisons : “mais tu ne vas pas en vivre ?” “mais tout le monde fait ça, mais ça ne marche pas”… parce qu’on a entendu enfant, nos parents dire que “c’est bien beau de faire l’artiste mais ça ne fait pas gagner sa baguette” etc. On se freine.
Je ne sais pas comment se forme le cortex pré frontal, mais j’imagine que puisqu’il se forme en grandissant il doit être aussi construit avec ce qui nous entoure ces discours entendus incrustés en nous jusqu’à en être partie. ce n’est pas évident de s’en défaire non plus.
Oser vivre sa vie avec la créativité comme guide, c’est osé ! C’est culotté et c’est quelque chose qu’on ne m’a non seulement pas appris, mais qui m’a été posé comme “pas très sérieux” et insuffisant pour en faire sa vie. On peut voir cela comme un handicap, mais ça me donne aussi une lucidité différente. je dois être hyper exigeante pour être reconnue comme légitime, je parle peu autour de moi de mon activité. Mon “boulot” c’est “ingénieur scientifique” et non “graveuse de gomme” bon dit comme ça forcément :) allez “créatrice de tampons”…
Pff quel boulot, j’espère que à part la sieste tu vas nous donner d’autres suggestions et bons plans :)
Quel témoignage… Je pense aussi que “l’éducation” que l’on a reçue joue un grand rôle dans notre capacité à la créativité. Les “il ne faut pas..,” et les “tu dois” jouent forcement… J’imagine qu’un enfant qui a été élève de coloriages, de contes et de déguisements deviendra un adulte plus créatif qu’un enfant élever sans tout ces jeux imaginaires… Enfin je SUPPOSE, j’ai eu la chance d’avoir des parents créatifs.
En tout cas, si je peux me permettre, continue parce que ce que tu fais est magnifique, tu as de l’or dans les doigts! ^^
Bonjour,
Je reconnais quelque peu le portrait de ma maman dans ce témoignage ! De ce côté, ça fait quand même plus de 6 ans que j’ai travaillé dur pour monter mon activité (c’est pas tout à fait dans la hand-made, et pourtant le processus créatif de mon activité est le même donc je me retrouve très bien dans ce blog ! + passion couture depuis 3 ans :-)), et ma maman est toujours très angoissée par mon présent et mon avenir. Je crois qu’il y a la culture salariale qui y est pour beaucoup !!!
Je voulais juste réagir par rapport à la sieste… Il y a aussi la méditation sans objet qui permet de laisser la place aux idées créatives. Pour moi, ça correspond à une douche du cerveau, donc après, c’est plus calme, unifié, et pas besoin de “chercher une idée”, juste être bien avec soi-même et la créativité émerge d’elle-même !
J’en profite pour remercier Selma pour ce super travail et ce super cadeau que tu nous fais avec ce blog ! Je fais connaître ce blog à 3 amies minimum dans l’heure qui vient !
Bon WE créatif à toutes… et tous ?
merci <3
Et OUI pour la méditation et la relaxation, j'en ai parlé dans plusieurs articles et je risque d'en reparler encore!!!
Oui c’est ça le cortex se forme en grandissant, et nous apprenons à contrôler nos pulsions + nos idées.
C’est très difficile de se défaire des chapes qu’on nous apprend, tu ne dois pas être la seule ici, il y a au moins moi en tout cas!
C’est d’autant plus difficile que l’entourage n’est pas malveillant, c’est juste qu’il y a des personnes à qui ça convient, et d’autres pas DU TOUT! Et puis il y a les personnes qui peuvent faire avec, et celles qui s’éteignent.
C’est donc très important ce que tu dis : il y a un moment, quand on grandit, où il faut se donner soi-même le feu vert. Où il faut oser. Et réussir à ne pas avoir forcément besoin de la compréhension de son entourage.
Sans leur en vouloir non plus, chacun faisant au mieux.
Mais il faut prendre ses responsabilités, se lever, et marcher.
Quand on a encore du mal à faire avec l’incompréhension, on n’est pas obligé d’en parler à sa famille tout le temps. En revanche c’est important du coup de s’entourer de personnes positives + qui nous comprennent! Perso, comme ça que j’ai commencé à blogguer, personne (à part l’Amoureux) ne comprenant que j’ai envie de vivre différemment :-)
Et pour la sieste : bien sûr, ce ne sera pas le seul bon plan ;-)
Roooh ça fait un moment que j’ai envie de le dire mais je suis timide alors… Allez, j’ose après tout, ça fait aussi parti de la vie! ^^
J’ai lu une étude scientifique (américaine ou anglaise, je ne me souviens plus) qui disait que la sieste “crapuleuse” était excellente pour stimuler la créativité. L’orgasme permettant au cerveau de déconnecter totalement, nous serions beaucoup plus créatives et imaginatives après avoir fait l’amour… A bon entendeur! lol
Ca marche aussi avec la fièvre, j’ai testé récemment : activité cérébrale hyper intensive!
Malheureusement, je ne peux pas noter mes idées avant de m’endormir, car je sombre en 1 seconde et demi!
Par contre, je prends le temps de laisser mes pensées voguer librement le matin au réveil pendant 10 minutes minimum et ça “marche” bien :)
Comme je le disais dans les commentaire du post précèdent, pour ma part je n’ai jms d’idée en me couchant ms il est vrai que je suis plutôt du genre angoissée qui ressasse le soir. Par contre, le matin au réveil, après une bonne sieste ou une séance de relaxation (ou souvent qd je passe un bon moment avec des amis! Lol), les idées fusent tout comme les résolutions de pb. Je suis tjs très positive et joyeuse au réveil. Le sommeil/repos me détend l’esprit et l’imagination reprend le dessus. De même que lorsque j’accumule trop de fatigue, je ne suis bonne a rien! Lol
Et finalement, ne dit-on pas “la nuit porte conseil”?! Cette expression ne vient pas de nulle part… ;)
Effectivement. On sait maintenant pourquoi la nuit porte conseil!
Donc le proverbe “la nuit porte conseil” a bien un sens scientifique :)
Il est vrai que bon nombre de fois, j’ai tergiversé sur un problème, un projet, et comme par magie, le lendemain matin tout est devenu plus clair!
Moi je mettais ça sur le compte du repos, mais en fait peut-être que c’est le fait d’en avoir rêvé qui a apporter des solutions.
par contre, comme je l’ai dit sur ta page facebook, la sieste ce n’est pas pour moi. Je suis trop incapable de faire quoique ce soit de constructif après.
Moi j’adooooooooore les siestes! Mais je crois que ça dépend des métabolismes.
Enfin la clef, c’est le sommeil en cours de processus créatif, donc la nuit aussi, bien sûr!
Tout à l’heure, en regardant mon fils jouer dans son bain, je repensais à ton article, et je me disais…
Si les enfants ont cette capacité d’imagination délirante, n’est ce pas également parce qu’ils voient la vie comme un jeu?
Pour eux, rien n’est sérieux. Ils ont cette innocence qui leur permet de s’amuser de tout. Ils n’ont pas de limites (malheureusement des fois!).
Ils jouent, jouent, jouent et ça les rends heureux!
Donc j’en ai conclu que pour arriver à être plus créatif, il faut revenir un peu en enfance : dormir beaucoup, et jouer sans arrêt!
Oui c’est vrai. Ils sont insouciants et n’ont pas d’autre problemes que leur soif d’apprendre et la frustration des limites de la vie. Ils n’ont pas de reel pb qui les minent, les inquietent, les stressent au point de ne plus pouvoir penser a autre chose comme nous pouvont avoir nous les adultes. (Je parle d’enfants heureux qui ne manquent de rien, pas d’enfants maltraites ou traumatises ect, la c’est encore autre chose).
Je pense qu’effectivement c’est cette insouciance qui leur donne cette capacite a se liberer l’esprit des soucis et donc a y faire de la place pr l’imagination et la creativite…
En fait ça rejoint l’article précédent avec l’importance de la relaxation pour libérer sa créativité. Qui est bloquée par le stress, par la peur de l’avis des autres.
Quand on est petit, on n’a pas encore peur de l’avis des autres. Et on est dans le moment présent. Un enfant qui joue est à fond dans ce qu’il fait. Alors que quand on grandi, on est rarement dans l’instant présent. On passe plutôt notre temps à ressasser le passé et à penser au futur.
On retombe donc sur l’importance de la relaxation et de la méditation pour se reconnecter au présent et à sa créativité :-)
oh oui, la nuit, je peint et repeint pendant une semaine, deux… et puis un jour , je mis mets et voilà ça sort tout seul ^^
pour moi, pas besoin de sieste, je rêve éveillée , j’ai des absences à longueur de temps car je dessine, crée dans ma tête, une fois que c’est bien ancré je pose sur toile ou papier ;)
c’est l’ébullition dans cette tête, mais des fois c’est pas cool pour l’entourage ^^
ALors là je suis d’accord avec le fait que le cerveau bouillonne la nuit, cette nuit j’ai eu une superbe idée pour mes bijoux!!! Chui trop fière de moi :-) alos je vais la noter directly et la mettre en oeuvre en application.
Et quelquefois je “pique” les idées de mes filles et çà marche!! Alors je vais en profiter tant qu’elles sont encore jeunes et insouscientes!!! Et surtout je les laisse faire des tests, des tentatives elles ont une imagination et du talent ( je suis objective là croyez-moi) moi je rame certaine fois surement parce petite je n’ai pas beaucoup dessiner, fait de pâte à modeler ou autre, je voyais juste un week end sur 2 ma “moche belle maman” faire des broches en pâte fimo, et de la peinture et plein d’autres trucs qui m’impressionnaient, et mon demi frère faisait avec elle de la pâte à sel et tout ce genre de chose , en rentrant chez ma mère hop plus rien ( “pas le temps, nan tu vas tout salir “et j’en passe!!) bref aujourd’hui je me rattrape et apparemment çà plait donc je suis heureuse et je partage tout çà avec mes filles et même le chien à un dessin au dessus de sa niche!!lol bref on est libre!! Merci Selma gràce à toi encore je comprend des choses, une vrai thérapie tes posts!!! Bonne journée je m’en vais de ce pas regarder ta vidéo… A bientôt
Merci pour ton témoignage Mélanie :-)
C’est sûr que c’est à nous aussi de nourrir la créativité de nos enfants, mais c’est plus difficile après 5 ans. Je ne sais pas pourquoi. A l’école, jusqu’à 5-6 ans on fait plein de trucs manuels, et du genre au lendemain, on rentre en CP et c’est fini!
Bonjour à toutes !
Moi aussi ça m’arrive tout le temps….sous la douche aussi….
mais du coup pas pratique de noter…:)
Ca m’est arrivé il y a 2 jours, à 10 mn de me lever….plein de super idées pour ma nouvelle e-boutique …pas d’iphone sous la main (pour noter ou enregistrer :)…..je me lève….et puis…évaporé !
La journée commençait mal, j’était hyper frustrée.
Concernant mon éducation, j’ai eu de la chance que mes parents me laisse rêver et faire ce que je voulais….j’ai fais des études de modes (mes frères ingénieur et commercial international). Cela ne sert à rien de brider les enfants, ils sont bien plus épanouis quand ils font ce qu’ils aiment !
Bonne journée à toutes !
Merci pour cet article très intéressant ! J’avais remarqué ce phénomène lors de mes siestes quotidiennes…Oui, j’entends déjà certaines dire que j’ai de la chance mais oui, pour moi, c’est obligatoire sinon je crois bien que mon cerveau arrêterait de réfléchir alors bon…Mais je visualise souvent les derniers gestes à faire pour tourner un truc sur un autre, en couture par exemple, pendant ma sieste ou lorsque je me réveille…Et le réflexe du carnet sur le plancher de mon côté du lit est vite devenu une obligation…Alors je milite pour la sieste pour tout le monde !!!!
alors là genial! une sieste comme solution, j adooore!
Bonjour à tou(te)s !
Un point me chiffonne un tantinet au sujet des raisons qui censurent notre esprit créatif : doit-on en déduire que tout artiste est un peu “malade” ou qu’il n’est pas complètement devenu “adulte” ?!
Ou, peut-on envisager que certains caractères insoumis, ayant une forme de résistance à l’autorité, ou des caractères ayant été éduqués à répondre à certains principes de liberté, ou encore des caractères ayant aiguisé un sens particulier de l’analyse qui vient ainsi contrecarrer les effets de la censure par une logique de pensée différente, peut-on envisager donc, que ces caractères échappent de ce fait à cette censure qui nous empêche de créer ?
Merci pour cet article très intéressant !
Avant d’aller faire une petite sieste, je vous partage cette vidéo qui m’a fait tilt sur le fait d’oser !
http://www.facebook.com/photo.php?v=10200822890277576
Je lis touts les articles (ou presque) qui sont d’ailleurs très intéressants et c’est bien la première fois que je laisse un commentaire juste pour dire MERCI, mais aussi pour dire que je suis totalement d’accord avec le fait qu’un “bon” sommeil ou de faire la sieste de temps en temps m’aide énormément. Mais la chose la plus étrange c’est que c’est bien souvent quand je ne suis pas dans mon atelier que les idées fusent le plus, que ce soit dans un café ou en vacances à plus de 1000kms de chez moi, ou simplement en ballade. Se “déconnecter” booste la créativité :)
Pour ma part mes enfants sont ma premiere source d’inspiration, nous passons beaucoup de temps à jouer, fabriquer et créer. J’essaie leur propositions et souvent ça plaît. Je pense que la créativité vient en créant et que chaque difficultés, erreurs ou obstacle nous permet d’avancer et comme dit le proverbe : “la nuit porte conseil”
Oh oui! Combien de fois j’ai trouvé des solutions en dormant! Un plan de dissert’ de philo, l’utilité d’un bout de métal dans ma trousse d’école (qui venait de ma montre!), une idée de page de scrap! C’est même ma façon de régler des problèmes en cas de surmenage.. une sieste et ça repart!
Pour moi c,est le matin, mon dernier rêve est toujours en lien avec mon activité passion. Par contre comme beaucoup d’entre vous j’ai dû prendre le temps de m’autoriser à être moi-même et le déclic à eut lieu le jour oû redevenue célibataire et propriétaire de ma maison je me suis autorisée à peindre les murs à l’instinct et en musique … en fabriquant mes couleurs à l’envie avec des colorants et de la peinture à placo. Enfin pus personne pour me dire ” ça ne se fait pas, on n’a jamais vu cela quelque part ! ” bin si voilà chez moi on pouvait voir ! Bon j’ai une pensée pour tout le boulot de “remise aux normes (sic) ” des proprios suivants ;)
Enfin j’ai trouvé ma voie, toujours la couleurs mais lainière, j’aime peindre mais j’aime aussi l’idée de vivre avec ses œuvres d’art et de les (en)porter avec soi … Et j’ai maintenant le compagnon qui sait et respecte qui je suis et comprend l’espace physique et temporel dont j’ai besoin. Bien sûr j’ai conservé mon job par nécessité financière mais aussi parlé qu’il m’évite de m’enfermer dans mon activité et me nourrit. Qu’elle route pour en arriver là ! Car certes je suis une maman créative mais j’ai 50 ans, des enfants plus grands et donc plus de temps, et encore des rêves plein la tête …. Et des envies au bout des doigts !
Bonjour Selma,
Le cerveau est une machine si complexe qu’on connaît tellement peu encore, que j’ai du mal à prendre pour argent comptant les résultats de recherche et d’études scientifiques (d’autant plus que n’étant pas une scientifique, le fait de n’y rien comprendre me laisse parfaitement songeuse…)
Songeuse, tiens, justement : ton article me fait réaliser que depuis l’âge de dix ans environ, il m’est arrivé quelques fois, dans une sorte de demi-sommeil (je veux dire par là qu’au petit matin, je dors mais je me souviens de tout), de créer des concepts de magasin ou de services, dans le détail le + complet (jusqu’au motif du carrelage, le nombre d’employés, la couleur de la tenue, la carte des tarifs, etc…) Un truc complètement fou! Aujourd’hui, ce sont plutôt des idées de cartes-carnets-faire-part qui me viennent, toujours aussi détaillées. Je crois que je me sers de tout ce que j’ai pu accumuler au fil des jours ou heures précédant ce rêve, et que mon cerveau fait le tri et assemble tout seul ce que l’adage décrit comme “la nuit portant conseil” (ou la sieste). Je peux donc témoigner que oui, le sommeil ou demi-sommeil est tout à fait générateur d’idées nouvelles.
Le fait de ne plus rien contrôler consciemment libère notre créativité, c’est évident.
C’est tardivement que j’ai pris conscience que je pouvais créer (je ne crie pas au génie, attention, juste au fait de créer quelque chose), en me reconnectant avec mon enfance, en réfléchissant sur ce que je pouvais bien faire pendant mes heures de liberté totale. Car je m’étais éloignée de moi. (en partie à cause de l’éducation morne et stricte que j’ai reçue, je crois qu’on va toutes parler de nos mères ici ☺). Le plus beau compliment que ma mère, donc, m’ait fait récemment, c’est : “Je ne savais pas que tu étais capable de faire tout ça, je suis épatée”. J’en aurais chialé.
Là, ça rejoint mon besoin de reconnaissance, mais ça c’est un tout autre sujet.
Bref, j’ai osé passer un (gros) cap (en partie grâce à toi, merci), me reconnecter avec mes vraies envies et besoins, j’en parle d’ailleurs dans mon article (http://plumetisjoli.wordpress.com/2013/03/01/jose) où je te mentionne.
Alors dormons, et déconditionnons-nous de nos auto-censures (pas facile du tout, d’ailleurs)
Merci de tant nous aider, je partage sur FB.
Très intéressant tout ça!
Oui oui, en effet il m’est arrivé un bon nombre de fois de trouver une idée de “génie” juste avant de sombrer dans le sommeil! Je comprends maintenant pourquoi. Voilà, comme tu dis, ne pas oublier d’avoir sur sa table de chevet, crayon et carnet!
genial
Bonjour, je ne savais pas à quoi c’était dû mais lorsque je bloque sur un modèle ou sur une idée je m’efforce toujours d’y penser avant de dormir soit je trouve la solution au moment de l’endormissement, soit au réveil j’ai la partie qui me manquait c’est très efficace! merci pour ce nouvel article encore une fois très intéressant