Envie d’être visible, présent, référencé ?

Mesdames et messieurs : demandez, ce que vous désirez est au menu !

Il n’y a plus d’obstacles à aucune distance ni aucun format aujourd’hui: audio, vidéo, live stream…

Et le marketing de contenu recouvre un champ vaste.

Trop en fait, non ? Ça a l’air d’évoluer vite. Périscope intègre le replay. Facebook live débarque. Instagram intègre les vidéos. Blab sort.

Les titres avides de sensations fortes clament  » Le MMM est mort ! » (tu peux remplacer MMM par blogging, email marketing, ou podcast) ça me rappelle les commentaires hystériques des matchs de foot à la radio :-)

Heureusement…

il y en a qui gardent la tête sur les épaules : oui, il faut encore tenir un blog pro en 2017 !

[clickToTweet tweet= »Alors, qui c’est qui est mort en vrai : le blogging ? l’email marketing ? le podcast ? » quote= »Alors, qui c’est qui est mort en vrai : le blogging ? l’email marketing ? le podcast ? »]

En tout cas l’obsolescence inquiète, on la craint. Ça a l’air vachement compliqué. Voire infaisable (quel entrepreneur a le temps de se former en permanence à de nouveaux réseaux et d’en utiliser plusieurs de manière efficace et régulière ?)

On se demande si on ne perd pas un peu « quelque chose », à communiquer en ligne. Dans le rapport humain. Dans le temps qu’on y passe.

Si on n’a pas besoin de faire parfois des pauses, être moins sociable, disparaître quelque temps.

Et c’est dommage parce que « c’est pas obligé ». Tu n’es pas obligé d’être présent partout ni même de te connecter tous les jours pour être présent. Tu n’es pas obligé d’être sur le pont tout le temps, d’être à la pointe des nouveaux outils, des nouvelles plate-formes. De réinventer la roue à chaque fois. De développer de nouvelles idées tout le temps.

Ce ne sont pas les idées de contenu qui te manquent cela dit. Maintenant qu’est ce que tu en fais, de ces idées ? Parce que le temps passé sur ton contenu, ce n’est pas du temps rémunéré.

Du coup le contenu gratuit que tu produis, tu veux être sûr-e que tu le consacres à ce qui vaut la peine d’être fait. A ce qui te rapproche de tes clients, et de tes partenaires : une stratégie de contenu réussie va bien plus loin qu’un calendrier bien rempli.

Ce qu’il te faut pour ton marketing de contenu ? Un système pas-à-pas

Ce qu’il te faut, c’est  un système qui te permet de générer des idées en permanence. De les canalyser, avec discernement. ET de les structurer. Pour que ton contenu réponde à 2 types d’objectifs : les tiens (histoire que tes articles impactent bien ton positionnement, CA…) et ceux liés à tes clients (tu veux que ton contenu leur soit utile, les fasse progresser, les aide vraiment).

Voyons les 7 pas pour réussir ta stratégie de contenu sur ton blog !

Pas 1 : choisis ton phare

  • Quand j’habitais en Espagne, c’était avant Easy Jet. Ce qui fait que Vueling, Ryan Air, et leurs tarifs sympas, ça n’existait pas non plus. Quand tu étais étudiant, et que tu voulais voyager en Europe, tu avais 2 possibilités : Eurolines et le pass Interail. Se déplacer, c’était long.
  • En partant de Paris ou Bruxelles pour descendre jusqu’à Séville, monter à Londres, ou tracer à l’Est, tu sortais de grandes cartes (il n’y avait pas Internet !), des tableaux d’horaires, tu choisissais ta destination. Et tu préparais ta feuille de route, ton plan, en fonction.
  • Ce n’est pas qu’un plan soit figé : tu peux tomber sur un coin qui te plaît particulièrement et y rester. Rencontrer des gens qui vont modifier ta trajectoire. Continuer dans une autre direction une fois arrivé-e à destination. Mais à la base, tu as une destination. Un phare.
  • En ligne c’est pareil : le contenu que tu publies t’emmènes quelque part. Où ça ? Quelle est ta destination ? Pas à horizon 10 ans, mais à horizon 6-12 mois. Pour quoi veux-tu être connu ? Qui veux-tu être sur le web ? En fonction de ça : qu’est-ce que tu vas vendre, tester comme produit, service, prestation, idée ?
  • Si tu es déjà satisfait-e à 100 % de ton positionnement : bravo ! Mais tu n’es pas gravé-e dans la pierre. Il y a sûrement des choses qui ont évolué de ton côté ces 6-12 derniers mois, et ce sera pareil pour les 6-12 prochains. Alors qu’est-ce que tu veux accentuer, affiner à moyen terme ? Qui veux-tu devenir ? Qu’est-ce que tu veux qu’on dise de toi quand tu n’es pas dans la pièce ?

Pour moi ? Ma mission, c’est de redéfinir le commerce, de faire d’Internet est une table pour deux. Parce que vendre ne peut plus rimer avec interrompre, imposer, importuner. Parce que vendeurs comme clients, c’est le haut-le-coeur généralisé face à la communication de masse. Et qu’un grand changement de la relation commerciale arrive.

Quand Hervé du blog Changeons.fr m’a nominée sur son blog, voilà comment il m’a présentée : « Selma aide les entrepreneurs en ligne à se développer. Son créneau ? L’humain avant tout, et les échanges gagnant-gagnant. » Et bin voilà : stratégie marketing humain au cœur. Merci Hervé !

Pas 2 : choisis tes bornes

  • Une fois que tu sais qui tu veux être sur le web, ce pour quoi tu veux être connu, tes objectifs de positionnement, personal branding…tu veux être associé à un certain type de travail, d’approche, de clientèle, de problématique, de style de vie, de concurrence, de tarif.
  • Dans ta destination, il y a aussi ton offre : tes produits, services, prestations…. il y a ceux qui sont déjà en ligne, et ceux qui ne le sont pas encore, mais tu sais qu’à horizon 3 mois, 6 mois, tu voudrais lancer tel ou tel produit.
  • Tout ça, ce sont des bornes : des escales à cocher pour que le contenu que tu publies te fasse effectivement avancer vers ton phare. Tu n’as pas besoin de connaître tes escales 12 mois à l’avance ni de savoir avant de partir comment tu vas les concrétiser.
  • Maintenant bon : il y a des personnalités différentes, qui ont des points forts différents, et forcément des manières différentes de réfléchir et de fonctionner. Si tu carbures plutôt au feeling, avoir un phare va te suffire. Bosser sur une stratégie de contenu, ça va te stresser, là où d’autres, comme moi, vont s’éclater.
  • Alors ami-e du détail et de la stratégie : le meilleur moyen de choisir tes escales ? Pense client d’abord. Puis demande-toi :

Est-ce qu’il y a une saisonnalité dans les besoins liés à ton travail ?

Est-ce qu’il y a des moments de « creux » que tu pourras consacrer à utiliser ton contenu pour développer ta visibilité, ton réseau ?

Est-ce qu’il y a des produits/services/prestations que tu as l’habitude de proposer à une certaine période ?

Qu’est-ce que tu pourrais proposer juste après, à la place, pour les gens qui n’avaient pas besoin de ça ?

Qu’est-ce que tu pourrais proposer quelque temps après aux clients qui ont choisi ton offre A ? En gardant toujours ton phare en tête :-)

  • Choisis tes bornes, ensuite, note-les : il y a un tas d’applis pour élaborer un calendrier éditorial, tu peux aussi faire ça sur papier + post-it, personnellement j’utilise un tableur qui fait partie des outils de ma formation Blog Impact.

Pas 3 : passe une petite annonce

  • Alors : une fois que tu sais quelle est ta destination et quelles sont tes étapes pour y arriver, tu vas faire passer le message. Ce n’est pas compliqué parce que le langage du commerce, c’est la conversation. Et que la conversation, tu t’en sers déjà tout le temps !
  • Comment tu fais quand tu t’assieds pour un café avec un collègue, un ami ? Tu lui poses des questions pour savoir où il est aujourd’hui, comment ça se passe, ce qui lui pose problème, ce qui lui fait envie. En d’autres mots : tu fais rapidos une synthèse mentale, et tu orientes automatiquement la conversation en fonction !
  • Internet est une table pour deux : donc c’est pareil en ligne. Ton interlocuteur, tu as besoin de savoir où il en est, ce qui lui pose problème et ce qui lui fait envie, pour lui proposer des sujets de conversation intéressants.
  • Et il y a une technique que je recommande toujours à mes clients dans le cadre de mes supers formations ^_^, c’est la technique de la petite annonce. Concrètement ? Avant de préparer une séquence d’articles, une séquence de mails qui vont préparer une vente, rédige la petite annonce que ton lecteur / lectrice / client potentiel posterait dans le journal et à laquelle toi tu répondrais.
  • Rédiger une petite annonce à la place de quelqu’un d’autre, ça implique de vraiment bien le ou la connaître. Si besoin, rafraîchis toi la mémoire avant d’écrire cette petite annonce en replongeant dans les échanges que tu as eus avec tes clients préférés : mails, commentaires, réseaux sociaux, profils clients…pour avoir bien en tête ce qui se passe dans la leur.

Marre des profils clients bateaux ? Je te recommande l’article 4 exemples de buyer personas de Florian Pouvreau : ne t’arrête pas au fait que l’article soit orienté secteur informatique, la démarche peut être déclinée à tous les domaines. Y compris le tien !

Pas 4 : choisis tes 3 dadas

  • Quand tu sais quels sont tes objectifs par rapport à ton business, qui lit ton blog et pourquoi, c’est beaucoup plus facile de canaliser tes idées d’articles! Pourquoi canaliser ? Parce que tu sinon tu risques de publier des articles sympas, d’avoir une audience qui te suit, qui aime bien lire ton blog mais qui ne comprend pas ce que tu fais vraiment, ce que tu aimes faire, et avec qui tu travailles.
  • Alors : quels sont les 3 thèmes, les 3 sujets de conversation autour desquels tu vas faire tourner la conversation ?  Compte tenu de ton phare, et compte tenu des étapes par lesquelles tu veux passer, des produits / services / prestations que tu as à vendre dans les prochains mois : quels sont les 3 sujets de conversation que tu vas creuser avec tes articles ? Les 3 sujets qui te bottent, qui sont en lien avec ton travail, et forcément en lien avec les problématiques/envies de tes clients ? Internet est une table pour deux : tu vas à un RV avec quelqu’un, vous avez au moins 3 sujets de conversation. Lesquels ?

Par exemple, peut-être que tu accompagnes tes clients à améliorer leur vie, leurs relations, leurs résultats grâce à la respiration consciente. Tu fais des consultations individuelles et de couples, des ateliers parents-enfants, et des interventions en entreprises pour que les équipes soient soudées, dans la confiance, ce qui va forcément impacter leurs résultats. Tu peux du coup aborder : le développement personnel, la parentalité positive, le leadership.

Important ! 3 sujets, c’est pour donner un objectif à tes neurones : si c’est 4, ou 2 pour commencer, c’est bien aussi ! Sans oublier que les sujets choisis ne sont pas gravés dans la pierre (ils peuvent évoluer et laissent de toute façon la place à l’improvisation :-).

  • Le marketing de contenu, ce n’est pas compliqué. Ça ne dépend pas des outils utilisés (dans les grandes lignes, après bien sûr, tu vas adapter ce que tu as à dire au format imposé par l’outil ! ) et ça ne tourne pas autour de ton travail : ça permet de l’aborder, ça y amène, mais ça tourne autour de ton lecteur/abonné/client.

[clickToTweet tweet= »Non (et ouf !), pas besoin d’un autre outil pour réussir son marketing de contenu en fait ! » quote= »Non (et ouf !), pas besoin d’un autre outil pour réussir son marketing de contenu en fait! »]

Pas 5 : cherche, liste

  • Tu as 3 sujets de conversation, tu peux commencer à lister tes idées ! Privilégie ce qui est intemporel ou cyclique. Le mieux pour éviter de sécher ? Prévoir un créneau de recherche d’idées régulier, qui commence par lire (feedly, twitter, les magazines spécialisés dans ton domaine…) et par noter : les idées qui te plaisent, pour les creuser (en les citant bien sûr), apporter ton point de vue, ton expérience par rapport à ça. Et les idées qui te hérissent le poil, pour apporter un autre avis sur la question :-)
  • A partir du moment où tu as déjà un blog, du contenu qui plaît, des lecteurs – ou pas de blog mais un autre moyen de communication que ce soit un podcast, une chaîne Youtube, du présentiel et que tu es dans l’interaction avec ton audience, tes clients : tu arrives vite à 10-15 idées par sujet de conversation. Et là on pourrait se dire  » Hourra ! J’ai +40 idées c’est bon, je vais publier ça tranquillou sur un 1 an ! »
  • Mais une bonne idée, ce n’est que de l’argile à modeler. En fonction du stade où se trouvent tes lecteurs, et de l’étape à laquelle tu veux les faire passer après. Sinon ta liste d’idées, c’est juste une liste, pas une stratégie :-)
  • Parce qu’en fonction du stade où en est ton lecteur/abonné/client, et de là où tu veux qu’il en soit, de ce que tu veux qu’il fasse après avoir lu ton article, tu ne vas pas amener la même idée de la même façon.
  • Ce qui va dire que la même idée peut être utilisée plusieurs fois et donner des articles différents en fonction de ton objectif. ça fait d’un coup beaucoup moins d’idées à trouver !
  • Ça implique aussi de structurer entre elles tes idées d’articles de sorte qu’elles TE fassent passer par les étapes, les bornes que tu as choisies et qu’elles fassent passer ton lecteur par les étapes dont il a besoin pour progresser et se transformer, un article après l’autre, en client potentiel.

Pas 6 : structure, planifie

  • Quand je te dis « une stratégie de contenu réussie va plus loin qu’un calendrier bien rempli« , pourquoi ? Parce qu’une stratégie éditoriale, ce n’est pas une liste d’idées. C’est un scénario, et un scénario, ça fait monter la mayonnaise !

 » Une ligne éditoriale, c’est un scénario. »

– Thomas Hammoudi

  • J’adore ce qu’a écrit Thomas. J’adore parce que c’est ce que j’invite à faire pendant mes formations : adopter une posture d’écrivain. De scénariste. Créer des personnages. Choisir les ingrédients de l’histoire et créer un scénario autour d’eux avec tout ça.
  • Un scénariste sait où il t’emmène et choisit des étapes-clefs pour son film, son épisode, sa pièce de théâtre. Sinon le sujet peut t’intéresser, mais tu t’ennuies. Tu t’endors. Tu quittes la salle. Tu changes de série.
  • C’est pour ça aussi qu’une stratégie de contenu sans objectifs, ce n’est pas une stratégie, ha ha. Avoir une présence en ligne, être visible, s’exprimer ok ok. Maintenant concrètement, l’impact sur ton business ? Tes ventes ? Est-ce que tu vois le lien entre chaque article et le produit ou service que tu peux proposer derrière ?
  • Et je ne parle pas du lien à cliquer hein ! Ni de la mention de ton travail. Je parle du chaînon, généralement manquant. Un chaînon lié à ton lecteur/client, pas à toi. En clair ? A partir du moment où tu sais où tu emmènes ton lecteur (et ce qui aura changé pour lui quand il en sera arrivé là), tu peux choisir tes idées et les agencer pour faire progresser ton lecteur étape par étape.

[clickToTweet tweet= »Est-ce que tu sais vraiment quoi faire, avec toutes tes idées d’articles ? Vérifie ici > » quote= »Est-ce que tu sais vraiment quoi faire, avec toutes tes idées d’articles ? Vérifie ici > »]

  • Pour avoir l’impact que tu veux avoir sur tes clients, ils ont besoin de ton aide à DEUX niveaux. Le premier, avant l’achat. Le 2ème : après l’achat. Le changement après l’achat, on a plus de facilité à le visualiser. Des exemples ? Grâce à ton travail, on arrive à prendre la parole en public. A utiliser la publicité Facebook pour développer sa liste. A se faire obéir de ses enfants sans crier. A manager son équipe. A perdre du poids. A passer du temps de qualité avec son conjoint / ses enfants.
  • Mais ton client change aussi avant l’achat : entre le moment où il découvre ce que tu fais, et celui où il est prêt à acheter. Réfléchis au dernier achat que tu as fait et qui n’était pas quelque chose que tu avais l’habitude d’acheter. Plus ou moins consciemment, tu as évolué mentalement de « c’est quoi ce truc » (voire : « typiquement le genre de truc que je ne vais jamais utiliser, c’est pas pour moi, je ne suis pas quelqu’un qui XXX, de toute façon j’ai pas le temps et c’est trop cher » ) à « J’ai trop envie de l’acheter, c’est exactement ce qu’il me faut ! »
  • C’est pareil pour tes clients potentiels : les obstacles en surface sont le temps et l’argent. Et oui le temps et l’argent peuvent être des obstacles. Mais on réussit à trouver le temps et l’argent d’investir dans ce qui nous fait vraiment envie quand on a fini par dépasser les vrais obstacles qui n’ont généralement rien avec voir avec le temps et l’argent, et tout à voir avec nous-mêmes.
  • Donc, pour revenir à nos moutons : structure tes idées d’articles en fonction des objectifs que tu as pour tes lecteurs et clients pour les faire progresser sur le chemin que tu traces pour eux, les faire progresser d’une étape à l’autre.

C’est plus simple que ça en a l’air, surtout quand on sait quelles sont les erreurs à éviter et qu’on a un mode d’emploi : je t’explique ça dans les articles suivants vu que mon compteur WordPress m’indique que j’en suis déjà à 3125 mots !

Pas 7 : écris (ou pas ! )

  • Une fois que tes idées sont listées et structurées, tu sais quel est ton objectif pour chaque article : c’est le moment d’écrire ton texte. Ou pas ! Peut-être que tu préfères la vidéo ou l’audio à l’écriture, ou que tu fais un mix des 3 ?

Et pas 8 : réutilise !

  • Les idées que tu as dégagées, structurées, développées ne se périment pas à la lumière du jour ! Reprends les dans tes mails, séquences d’auto-répondeur, pages de vente, réseaux sociaux, envoie les aux personnes que ça pourrait intéresser ! Demande une transcription si c’est de l’audio ou de la vidéo, fais en une vidéo si tu blogues, un thème de podcast, de webinaire ou autre contenu offert!
  • Si tu as bien choisi tes idées à la base, si elles sont traitées de manières intéressante : ce contenu aura la même valeur dans 6 mois ! Bien sûr, en analysant comment ça c’est passé, tu peux déterminer à posteriori si c’était vraiment la peine de faire une vidéo ou pas, de partager sur tel réseau ou pas. Pour supprimer ce qui t’a pris trop de temps par rapport aux efforts investis, et recommencer ce qui a eu le plus d’impact !
  • Et quand tu as un scénario qui a bien marché, tu peux reprendre la trame, et recommencer pour une nouvelle série d’épisodes : cette démarche est inépuisable. Mieux : plus tu l’utilises, plus c’est facile, et meilleurs sont tes résultats :-)

En résumé ?

  • Le marketing de contenu, ce n’est pas une histoire d’outils. De funnels. De format (texte, audio, vidéo). C’est une histoire d’idées qui traduisent ton travail, ta personnalité, et qui transforment tes lecteurs : elles les font progresser en tant qu’individus et les transforment en clients potentiels.

Dans les prochains articles, nous allons voir concrètement ce que ça donne et ce que tu peux faire pour y arriver.

En attendant, je t’invite à demander l’accès à tes 10 micro-leçons d’email markting, pour envoyer de meilleurs mails, spécialement conçus pour une relation durable et riche avec tes abonnés :

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Author Details

Je m’appelle Selma Païva. Je suis l’auteure du livre “Internet est une table pour deux, le marketing autrement”. Et le storytelling est mon super pouvoir :-)

Je forme + accompagne les entrepreneurs à passer un nouveau cap dans leur storytelling & positionnement sur selmapaiva.com. Pour une identité plus marquée. Un message clarifié. Des clients mieux ciblés. Une offre valorisée.

Commence par le programme Storytelling Maestria = méthodes & principes de storytelling pratico-pratique pour du contenu qui fait passer ta personnalité. Des mails qui créent une vraie proximité avec tes abonnés. Des posts qui créent des émotions, de la relation, des conversions.